14% des 18-44 ans se déclarent incapables de savoir de quel sexe ils sont

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 avril 2019

Toujours plus de progrès.

L’Obs :

Vous êtes-vous déjà demandé si vous vous sentiez vraiment, complètement, homme ou femme ? Selon un sondage réalisé par YouGov pour « l’Obs »*, 14 % des 18-44 ans ne se retrouvent pas complètement dans cette dichotomie, se considérant ainsi comme « non binaires ».

Dans le détail, 6% des 18-44 ans interrogés ont déclaré que le terme « non-binaire » leur correspondait « tout à fait », 8% qu’il leur correspondait « plutôt ». Chez les 45 ans et plus, ce sont 8% des répondants qui se sont retrouvés dans l’expression. Et sur l’ensemble des répondants (18 ans et plus), 11 %.

Être non binaire, c’est « n’appartenir ni strictement au genre masculin, ni strictement au genre féminin », résume Brieuc, youtubeuse de 21 ans rencontrée par « L’Obs » pour le dossier que nous consacrons à ce sujet cette semaine.

Brieuc n’est pas une « youtubeuse ».

C’est une sale fiotte avec une bite et des cheveux mauves. Et de fausses larmes attachées à ses lunettes.

Voyager dans cet univers YT de sodomites déguisés en femmes ou de vieilles goudous à cheveux courts, c’est comme déambuler à Sainte-Anne. Dépaysement garanti.

Ces dégénérés essaient de nous transmettre le SIDA à tout prix en parlant de « genres ». Il n’y a pas de « genres ». A la naissance, vous avez un pénis ou un vagin et ce sera ainsi pour le reste de votre vie. Si vous avez un pénis, vous êtes un homme. Sinon, vous êtes une femme.

C’était à peu près clair depuis 100,000 ans pour tout le monde jusqu’à ce que les juifs s’emparent du contrôle politico-médiatique de l’Occident.

En fait, on peut corréler très étroitement la promotion de l’homo-sidaïsme et l’influence juive dans une société.

Pour en revenir à ces insanités homo-hébraïques, le sexe d’une personne conditionne la structuration de son cerveau dès le stade prénatal de manière irréversible.

Vous pouvez voir cette vidéo de Richard Lynn sur ce sujet.

Se couper les nichons et se piquer à la testostérone ne fera pas d’une gonzesse un mec.

Surtout pas au niveau cérébral.

C’est faux. Ce sera toujours faux.

On peut estimer qu’il existe autant de façon de vivre sa non-binarité qu’il existe de personnes non-binaires : un peu homme et un peu femme, aucun des deux, entre les deux… Pour Chris 50 ans, artiste peintre dans les Alpes Maritimes, son identité de genre est « 20% féminine, 20% masculine, 60% autre« .

J’aurais dit 19,22% féminine.

Pour 36% des adultes interrogés par YouGov pour « l’Obs », les institutions devraient reconnaître une identité de genre intitulée « neutre ». 43% ne sont « pas d’accord », et 21% ont préféré ne pas répondre. Les 18-24 ans sont les plus ouverts à cette proposition puisqu’ils sont 49% à la soutenir, 35% à s’y opposer.

D’ici deux ou trois ans, ce sera la règle. N’en doutez pas un instant. L’état juif reconnaîtra l’existence de gens qui ne savent pas s’ils ont une bite ou des nichons. Sur papier.

Les juifs poussent agressivement à la dévirilisation des jeunes mâles blancs par différents moyens.

Évidemment par le démantèlement du patriarcat, la généralisation du divorce et la garde systématiquement accordée aux femmes qui placent les jeunes garçons dans un environnement exclusivement féminin ou presque.

Vous avez désormais 80% du personnel de l’éducation nationale qui est féminin, ce qui place les jeunes Blancs face à des rombières, sans exemple mâle à copier.

Vous avez aussi l’abolition du service militaire, la criminalisation de la virilité blanche à tous les niveaux. Y compris par la diabolisation radicale de toute forme de nationalisme, c’est-à-dire de toute affirmation psychologique collective autoritaire au sein des masses.

Le nationalisme n’est rien d’autre que la militarisation de la société sur la base de l’empirisme scientifique. Les juifs, les homosexuels et les femmes redoutent la tendance autoritaire car elle est, par définition, l’expression d’une volonté de domination masculine. Le nationalisme est un phénomène politique masculin.

Mais cette entreprise de désorientation sexuelle visant à affaiblir l’homme blanc ne tombe pas du ciel.

Les juifs poussent à fond.

Notamment dans l’industrie du jeu vidéo.

Les médias juifs saturent les réseaux de propagande LGBT pour empêcher les jeunes Blancs de s’affirmer et ainsi de revendiquer le pouvoir pour eux.

Bien que les jeunes ne lisent pas un journal juif comme l’Obs, ce truc matraque depuis des jours les réseaux sociaux avec ces histoires de traveloïsme.

Rien que cette semaine, sur la timeline FB de ce journal juif :

Mais il y a également les conditions de vie objectives, à commencer par cette situation anormale de paix judéo-démocratique qui permet aux faibles de proliférer.

La féminisation d’une société est toujours le symptôme de sa déchéance et l’annonce de son effondrement.

La fiottisation, surtout dans les grandes villes, aboutit à la création d’une couche de sous-hommes, fils de profs ou équivalents, qui vont se concentrer à Sciences-Po puis se disséminent de plus en plus dans l’appareil d’état.

Un nombre impressionnant de créatures racialement abâtardies ne sont pas seulement des schizophrènes raciaux mais aussi sexuels. Des sortes de créatures marrons lascives sorties tout droit de l’Enfer, mi-femelle mi homme.

Ces sous-hommes vont être balayés par la révolution raciale qui vient. La sauvagerie islamique n’en fera qu’une bouchée, simplement en menaçant ces bourgeois dégénérés d’un regard.

L’état pusillanime actuel ne peut plus se défendre, précisément parce qu’il est encadré par des fiottes et des femmes.

C’est la bonne nouvelle de cette déchéance anthropologique.

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