Surprise : les Blancs se tirent des quartiers à métèques pour des raisons exclusivement raciales

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
18 avril 2018

Surprise : une nouvelle étude montre que les Blancs ne fuient pas les métèques en raison des causes fumeuses avancées par les marxistes, mais bien parce que les métèques sont un vecteur de destruction culturelle.

Quartz.com :

Quand les gens de couleur s’établissent dans un quartier, les Blancs ont tendance à partir. Ce phénomène, connu sous le nom de « white flight », est bien établi dans les études sociologiques.

Une nouvelle étude conclut que ce sont des raisons raciales qui mènent au white flight. Le chercheur Samuel Kye a analysé à la fois les quartiers ouvriers et les banlieues de la classe moyenne et a récemment publié les résultats de son enquête pour Social Science Research. Il y donne une évaluation plus précise de l’importance jouée par la croissance des minorités comme déclenchement de l’exode des Blancs plutôt que le contexte social et économique.

Non seulement le rapport lie la persistance du white flight à la race, mais il a également découvert qu’un large nombre de Blancs qui quittent un quartier sont plus enclin à le faire s’ils sont issus d’un quartier de la classe moyenne plutôt que d’un quartier pauvre.

L’étude définit le white flight comme ceci : lorsqu’une zone d’habitation perd au moins 100 résidents blancs et au moins 25% de sa population blanche sur 10 ans. Samuel Kye a étudié le recensement US de 1990 à 2010 sur les 150 zones métropolitaines les plus grandes des Etats-Unis.

Le white flight est souvent réduit à un problème « Blancs contre noirs », mais l’étude montre que ce phénomène se déroule même quand ce sont des hispaniques ou des asiatiques qui « diversifient » les quartiers de la classe moyenne. L’étude montre que le white flight devient plus probable lorsque la présence d’hispaniques ou d’asiatiques excède 25% et 21% respectivement. Globalement, les zones qui ont connu le phénomène de white flight ont perdu 40% de leur population blanche en une décennie.

La race n’est pas seulement un très fort facteur prédictif du white flight mais se déroule à un niveau encore plus élevé dans les quartiers de la classe moyenne plutôt que dans ceux des quartiers plus pauvres. Cette découverte remet en cause la croyance selon laquelle le white flight a lieu pour des raisons socio-économiques puisqu’ils ne rencontrent pas les désavantages des quartiers qui sont censés faire partir les résidents blancs.

C’est un schéma troublant pour l’avenir, écrit Samuel Kye, ajoutant que le white flight contribue significativement à la ségrégation raciale, qui est un facteur prédictif important de réduction de chances dans la vie, que ce soit dans les domaines médical, éducatif ou économique.

Ces sales Blancs osent fuir, laissant dans la misère les nègres et autres métèques persécutés par eux.

Et dire que sans ces Blancs, les peuples de couleur seraient enfin libérés de toutes les chaînes qui les empêchent d’avoir une vie normale.

L’unique solution est simple : que les métèques suivent l’oppresseur blanc dans son nouveau quartier afin qu’il cesse d’exploiter les racisés.