La Nuit de la Liberté du 10 novembre 1938 : le rappel solennel aux juifs de ce qu’il en coûte de persécuter le peuple

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 novembre 2019

« Bravo ! Bravo ! » Dr Josef Goebbels, journal, 10 novembre 1938

En ce 10 novembre 2019, nous commémorons la juste colère qui s’abattit sur la race maudite de Jéhovah en Allemagne. Ce jour sacré est connu sous le terme habituel de « Nuit de Cristal » mais c’est bien sous celui de « Nuit de la Liberté » qu’il faut la désigner.

La presse juive, aidée de la vermine marxiste, s’emploie à occulter l’origine réelle de cette réaction populaire : 20 ans de terrorisme juif continu en Allemagne.

De la démoralisation de l’armée allemande par les gangs de juifs rouges à la solde des youtres moscovites en novembre 1918 à la spéculation effroyable de la juiverie financière sous Weimar, de la terreur hébraïque menée par les égorgeurs ashkénazes de la République des Conseils de Bavière en passant par le meurtre à Paris du diplomate Ernst von Rath des mains du juif Herschel Grynszpan, la race criminelle d’Abraham avait depuis longtemps justifié les mesures de rétorsion les plus drastiques.

Cette nuit n’était pas n’importe quelle nuit : le 9 novembre, pour le mouvement national-socialiste, est celui du martyre de 16 patriotes allemands qui tombèrent en 1923 lors de l’assaut contre le régime d’occupation juif.

C’était ce jour-là que les juifs avaient choisi pour menacer le gouvernement national-socialiste en assassinant lâchement le diplomate Von Rath.

Les glaives de la colère blanche

La chose n’échappa pas à la sagacité du Führer qui décida, en toute justice, d’appliquer la seule loi que le juif comprend : la sienne, celle du Talion.

Cette nuit, les aigles du Reich fondirent sur Judas avec la rapidité de l’éclair, prenant par surprise la juiverie terroriste en plein sommeil.

Le Docteur Goebbels en rapporte le détail :

Avec Wagner au Gau. J’envoie une lettre circulaire très précise expliquant ce qui peut et ne peut pas être fait. Wagner a froid aux yeux et tremble pour ses boutiques juives. Mais je ne me laisserait pas désorienter. Pendant ce temps, la troupe de choc fait son travail. Ce qu’ils font parfaitement. J’ordonne à Wächter à Berlin de faire détruire la synagogue de la Fasanenstrasse. Il n’arrête pas de dire : « Honorable mission. »

L’état du diplomate Rath à Paris, abattu par le juif, est encore très grave. La presse allemande se déchaîne.

Le discours du Führer au Bürgerbräu trouve un écho très fort en Allemagne et à l’étranger.

A Kassel et à Dessau, de grandes manifestations contre les juifs, des synagogues ont été incendiées et des boutiques démolies. Dans l’après-midi, la mort du diplomate allemand vom Rath est signalée.

Maintenant, tout est prêt.

Je vais à la réception de la fête dans l’ancienne mairie. Il y avait beaucoup de monde. J’en parle au Führer. Il décide : que les manifestations continuent. Retirez la police. Les juifs doivent ressentir la colère du peuple. C’est vrai, c’est vrai. Je donne les instructions appropriées à la police et au parti. Ensuite, je m’adresse brièvement aux chefs du parti dans ce sens. Tonnerre d’applaudissements. Tout le monde se précipite immédiatement vers les téléphones. Maintenant, le peuple va passer à l’action.

Certaines mauviettes hésitent. Mais je n’arrête pas de pousser. Nous ne pouvons pas laisser sans réponse ce meurtre lâche. Laissez les choses suivre leur cours. La troupe de choc Hitler commence tout de suite à nettoyer à Munich. Cela commence immédiatement. Une synagogue est réduite en cendres. J’essaie de la sauver du feu. Mais j’échoue.

La S.S. prête serment devant la Feldherrnhalle. A minuit. Très solennel. Le Führer parle aux hommes. Cela leur va droit au cœur.

Je veux aller à l’hôtel, là je vois le ciel rouge sang. La synagogue brûle. Immédiatement au Gau. Personne ne sait encore rien là-bas. Nous ne permettons d’éteindre que dans la mesure où cela est nécessaire pour les bâtiments environnants. Sinon, laissez brûler. La SA fait un travail terrible. Des messages arrivent maintenant de tout le Reich : 50, puis 75 synagogues sont en feu. Le Führer a ordonné l’arrestation immédiate de 25-30 000 Juifs. Ça va marcher. Ils vont voir que la mesure de notre patience est épuisée.

Wagner est encore un peu faible. Mais je ne lâcherai pas prise. Wächter relève de moi, commande exécutée. Nous allons avec Schaub au Künstler (Artistes) club, pour attendre d’autres messages. A Berlin 5, puis 15 synagogues incendiées. Maintenant, la colère du peuple fait rage. Nous ne pouvons rien y faire pendant la nuit. Et je ne veux rien faire. Laissez-les courir.

Schaub se démène. Son passé de SA se réveille.

Quand je vais à l’hôtel, les vitres de la fenêtre s’envolent en morceaux. Bravo ! Bravo ! Les synagogues brûlent dans toutes les grandes villes. Les propriétés allemandes ne sont pas menacées.

Il n’y a plus rien de spécial à faire pour le moment. J’essaie de dormir quelques heures.

Les premiers rapports arrivent tôt le matin. Il y a une rage terrible. Comme prévu. Toute la nation est en ébullition. Cette mort s’avère coûteuse pour le judaïsme. A l’avenir, ces chers juifs devront peser le pour et le contre avant d’abattre des diplomates allemands.

Et c’était tout ce qu’il fallait.

Le 11 novembre, il écrit encore :

Hier : Müller rapporte les événements de Berlin. C’était vraiment super là-bas. Constamment de nouveaux incendies. Mais c’est suffisant comme ça.

Je rédige un décret sur la conclusion des actions. C’est juste assez maintenant. Si nous laissons faire, la foule risque d’apparaître. Les synagogues ont brûlé dans tout le pays. Le judaïsme doit payer cher pour ce mort.

A l’Osteria, je rends compte au Führer. Il est d’accord avec tout. Ses vues sont assez radicales et agressives. L’action elle-même s’est parfaitement déroulée. 17 morts. Mais aucun bien allemand n’a été endommagé.

Avec des modifications mineures, le Führer approuve mon décret concernant la fin des actions. Je vais l’émettre tout de suite par la presse et la radio. Le Führer veut prendre des mesures très sévères contre les Juifs. Ils devront réparer eux-mêmes leurs ateliers. Les assurances ne paieront rien. Ensuite, le Führer veut progressivement exproprier les entreprises juives et donner à ses détenteurs des papiers en échange desquels nous pouvons dévaluer à tout moment. Soit dit en passant, le pays est déjà en train de s’aider lui-même à cet égard par ses propres actions. Je donnerai les décrets secrets appropriés pour ça. Nous attendons maintenant les effets à l’étranger. Pour l’instant, ils y sont encore silencieux. Mais le bruit viendra sûrement.

Les juifs sont très stupides en fin de compte. Et ils doivent payer très cher leurs propres erreurs.

Je téléphone avec Heydrich. Les rapports de police qui remontent de tout le Reich correspondent aussi à mes informations. Donc, tout va bien. Il n’y a qu’à Brême qu’il y a eu des excès désagréables. Mais ils sont insignifiants par rapport à la grande action. Je fais avec Heydrich la coordination entre le parti et la police dans cette question.

Je travaille encore jusqu’au soir. Des rapports en provenance de Berlin font état de très graves émeutes antisémites. Aujourd’hui, le peuple passe à l’action. Mais maintenant, il faut l’arrêter. Je donne des instructions à la police et au parti dans ce sens. Alors tout sera calme.

Voilà, chers amis, comment on s’adresse aux sémites en Europe.

Familiarisez-vous avec cet esprit révolutionnaire car c’est le même qui doit s’emparer des masses. Cet esprit va bientôt s’emparer du cœur de millions de gens sur le continent.

Attendez que la situation économique et géopolitique ne se tende et vous verrez les miracles qu’opèrent les attaques incessantes des médias antisémites.

Il faut encore et toujours attaquer le juif, l’âme de cette idole impie qu’est la démocratie.

Ces petits youtres n’ont pas encore commencé à goûter le centième de ce qui les attend.

Le terrorisme juif en France, qui avance sous le masque de la légalité républicaine, a pris des proportions encore plus spectaculaires qu’en Allemagne à cette époque.

Nous voyons la face hideuse du juif, puant d’arrogance, conspirer, se glissant derrière les barbares musulmans qui envahissent l’Europe pour multiplier les provocations contre le peuple français.

Nous arracherons ce sourire aux juifs.

S’il y a une chose dont je suis absolument convaincu, c’est celle-là : le juif marche comme un somnambule vers l’abîme.

Nous pouvons faire confiance à la stupidité de cette race de criminels : elle alimentera sans cesse la tempête de l’antisémitisme.